Qui suis-je ?
C’est dès ma plus tendre enfance que j’ai éprouvé le besoin d’apporter mon aide aux autres.
Comme beaucoup de jeunes enfants, j’ai envisagé devenir vétérinaire. J’ai suivi une scolarité générale, passé le baccalauréat, puis j’ai fait le choix de m’orienter vers des études dans le secteur de la santé, je suis donc entrée en école d’infirmière. J’ai obtenu mon diplôme d’Infirmière Diplômée d’Etat en 1997.
A l’issue de cette formation, j’ai exercé pendant plus de 20 années en tant qu’infirmière, et ce dans différents services. En effet, j’ai soigné et accompagné des patients, hospitalisés en service d’addictologie, pour traiter la dépendance aux drogues ou à l’alcool, je suis intervenue, par ailleurs, en service de médecine et chirurgie, pour me perfectionner ensuite, en bloc opératoire.
En parallèle de mon métier, j’ai suivi des formations dans le secteur du bien être et du prendre soin.
Dans ce cadre, je me suis formée à la sophrologie Caycédienne, qui permet d’accéder à la relaxation, et à la détente et au Reiki, plus en lien avec la dimension énergétique du corps et de l’esprit
En 2015, je me forme à la Kinésiologie, que je pratique depuis, avec passion. L’école de kinésiologie s’inscrivant dans la recherche, de nouveaux modules sont enseignés. Je trouve ce point particulièrement intéressant car il permet de faire évoluer la pratique, il lui confère un certain dynamisme.
Mais pas que …
Certaines formations appellent d’autres formations plus ciblées, ainsi je vais me former aux huiles essentielles.
Tout comme certains clients me poussent à creuser certains domaines, j’ai entrepris une formation de sexologue.
J’ai trouvé en la kinésiologie, un point de convergence entre les différentes façons dont j’envisage de prendre soin de la personne, et les différentes formations que j’ai suivies. Un véritable équilibre entre mes souhaits personnels et mes voeux professionnels.
La Kinésiologie propose une approche globale:
Elle consiste à prendre soin de la personne à tous les niveaux. En effet, la kinésiologie permet de soigner tant les souffrances et douleurs physiques, mentales, émotionnelles, que de rééquilibrer les énergies vibratoires.
Ma formation en Kinésiologie
Quand on veut consulter un professionnel, je pense qu’il est important de se renseigner sur son parcours de formation, surtout pour tout ce qui concerne les « médecines douces » ou approches complémentaires qui ne sont pas encadrées par un diplôme d’état.
Si demain vous décidez vous installer comme masseur énergétique ou kinésiologue, vous pouvez…
Commençons par le début : kinésiologie est un terme générique. Dire « je suis kinésiologue » c’est comme dire « je fais du sport », oui mais lequel ?
Tout comme il existe plusieurs sports, il existe plusieurs courants de kinésiologie.
Deuxième point important, il existe un Syndicat National de Kinésiologie (SKPF) et une Fédération Française des écoles de Kinésiologie (FFK) qui encadrent les formations et les kinésiologues issus de ces écoles. Je vous invite à jeter un coup d’œil sur leur site.
J’ai suivi la formation dispensée par l’EDUTM, école de Toulouse.
Le cursus se réalise en minimum 2 ans. Il comporte un socle de base commun à toutes les écoles de kinésiologie agréées par la FFK et le SNK de 600 heures, validé par l’obtention de certifications: Brain gym, Santé par le toucher, et 3 en 1.
Il existe une formation professionnelle pour les personnes ayant validé le premier niveau, où on réalise un travail plus approfondi sur la posture et le travail sur soi.
Ce sont au total plus de 1000 heures de formation, qui correspondent au niveau européen en vigueur dans d’autres pays. Je vous invite ici aussi à faire un petit tour sur le site.
De plus, la formation évolue en permanence puisque l’école s’inscrit dans la recherche. Elle propose régulièrement de nouveaux modules de formation. On pourrait la comparer à de la formation continue.
Il existe enfin Adaptopraxis©, une association de kinésiologues, issus de l’école qui, chaque année, organise un congrès thématique, cette année en octobre et le thème : « la fatigue », c’est tout un programme… L’association publie un journal « le journal de l’adaptogénèse« .
Ce métier est une passion, et nous échangeons régulièrement entre professionnel(le)s, sur nos pratiques et l’évolution des différentes méthodes de soins naturels.